
Nous sommes ravis de partager avec vous l’interview de Marc Gurung, réalisée par Jacques Brachet pour Evasion Mag. L’occasion de découvrir le parcours fascinant de ce réalisateur franco-népalais et ses courts-métrages Maithighar et La symphonie des marteaux, présentés lors de notre soirée au Théâtre Daudet le 6 octobre .
À travers ses films, Marc Gurung nous fait voyager entre la France, la Corse et le Népal, et explore des thématiques humaines et culturelles fortes avec un esthétisme singulier. Une lecture passionnante pour mieux comprendre son univers artistique et ses inspirations.
Pascale Parodi, présidente de l’association « Lumière(s) du Sud » nous offre à chaque soirée des films et des réalisateurs qu’elle va chercher un peu partout, entre autre au Festival de Cannes. Mais en ce lundi, elle n’est pas allée très loin puisque c’est à Toulon qu’elle a ramené deux courts-métrages et un réalisateur : Marc Gurung.
Quand une femme rencontre une autre femme, en l’occurrence Lisa Dora-Fardelli, ça donne une soirée originale avec ce réalisateur qui parle des femmes.
Pour la petite histoire, l’association « Au cœur des Arts » a créé le festival « Cinéma en liberté » que gère Lisa avec maestria depuis 2011. Elle et son équipe nous proposent, le temps d’un week-end, des courts métrages venus du monde entier, sous la houlette d’un jury. Cette année, pour la 14ème édition, ce sont Mathilda May et Sam Bobino qui s’y sont collés. Et c’est ce dernier qui a accordé une mention spéciale au film « Maitighar » de notre invité Marc Gurung, qui est donc venu présenter ce film ainsi que « La symphonie des marteaux ».
Né à Paris d’un père français et d’une mère népalaise, Marc a donc grandi entre deux cultures très différentes mais qui lui ont permis de s’enrichir entre deux pays car il va souvent se ressourcer dans la famille de sa mère.
Si ses deux premiers courts-métrages étaient axés sur la France, son quatrième est entièrement népalais et son troisième est… corso-népalais !
End of Content.